Le métier de Clio
J'ai toujours était attiré par le monde du journalisme, le travail que cela demande, les recherches, la relation entre les collègues qui n'est pas toujours des meilleurs. Depuis plusieurs années je lie le journal « nouveau détective » c'est d'ailleurs grâce à eut que Clio à embrassée la carrière de journaliste.

Les personnages
Le personnage de Clio a beaucoup était inspiré par le personnage de Sherlock Holmes du vénérable Arthur Conan Doyle qui reste pour moi le meilleur romancier policier que le monde est put voir. Les autres personnages comme Morgan ou Nicolas mon était inspiré pas différentes personnes de mon entourage, au fil des ans pourtant leurs personnalité est devenue totalement différentes de leur version d'origine.



Les musiques
Les musiques jouent un grand rôle dans mes textes. Pour ce qui est de mes inspirations musical car certain chapitre on était écrit sur des morceaux de musique. Patrick Fiori par la douceur de ses textes, Princesse robert pour le mystère de ses texte et Didier Barbelivien plus précisément son album Vendée 93 qui bien parle de la Vendée me plongeait au cour de l'ambiance du Gévaudan de notre époque et de celle ou la véritable Bête sévissait.



La bête du Gévaudan
La bête du Gévaudan est l'une des histoires qui ma toujours intrigué lorsque je l'ai découverte, j'aime le mystère qui tourne autour de cette mystérieuse créature qui a put tuer pendant prés de trois ans sans jamais être tuer ni démasqué.
La Bête du Gévaudan serait un animal à l'origine d'une série d'attaques contre des humains survenues entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, le plus souvent mortelles, entre 88 à 124 recensées selon les sources, eurent lieu principalement dans le nord de l'ancien pays du Gévaudan (qui correspond globalement à l'actuel département de la Lozère). Quelques cas ont été signalés dans le sud de l'Auvergne, et dans le nord du Vivarais et du Rouergue.
La Bête du Gévaudan dépassa rapidement le stade du fait divers, au point de mobiliser de nombreuses troupes royales et de donner naissance à toutes sortes de rumeurs, tant sur la nature de cette « bête » - vue tour à tour comme un loup, un animal exotique et même un loup-garou, voire un tueur en série à une époque plus récentes - que sur les raisons qui la poussaient à s'attaquer aux populations - du châtiment divin à la théorie de l'animal dressé pour tuer. L'affaire ne fut jamais élucidée. De 1764 à 1767, deux animaux, identifiés comme de gros loups, furent abattus. Le premier par François Antoine, porte-arquebuse du roi de France, en septembre 1765, sur le domaine de l'abbaye royale des Chazes. À partir de cette date, les journaux et la cour se désintéressèrent du Gévaudan, bien que d'autres morts attribuées à la Bête aient été déplorées ultérieurement. Le second loup fut abattu par Jean Chastel, enfant du pays domicilié à La Besseyre-Saint-Mary, le 19 juin 1767. Selon la tradition, l'animal tué par Chastel était bien la Bête du Gévaudan car, passée cette date, plus aucune mort ne lui fut attribuée. Source:Wikipedia
